Cocktails : vin sur vin !

Envie de briller lors de soirées entre amis ? De se la jouer Tom Cruise dans le film Cocktail, sans le sourire Ultra Brite ni le déhanché du bartender. 
Pas envie de se ruiner en alcools forts et onéreux ? 
Allez hop, cocktails au vin !

Passons les classiques Spritz, sangria (rouge ou blanche) et kir (qui doit forcément être composé de crème de cassis et de bourgogne aligoté) et voguons vers un peu d’originalité.

Le cardinal : pour les plus franchouillards, vin rouge et crème de cassis.

Le kalimucho : pour les plus exotiques (à peu de frais), vin rouge et cola, dosage selon le goût de chacun.

Le coucher de soleil : pour les plus originaux, 5 volumes de rosé, 1 volume de jus d’orange, un gros trait de Cognac, un autre de sirop de sucre de canne.

La soupe angevine : pour les plus pétillants, 5 volumes de crémant de Loire, 1 volume de jus de citron, 1 volume de liqueur d’orange (triple sec ou Cointreau), 1 volume de sirop de sucre de canne. A ne pas boire à la louche, vulgaire et attention aux lendemains qui ne chanteront pas…

Pour les plus « doigt en l’air », remplacer le crémant par du champagne…

Le Tinto de verano : pour les plus olé olé, 1 volume de vin rouge fruité, 1 volume de limonade ou de soda citron, zestes de citron.

Le BIF (British Industries Fair) : pour les plus chics, 7cl de vin blanc, 1cl de crème de cassis, 2cl de curaçao, à faire couler doucement en dernier dans la coupe pour qu’il se dépose au fond.

Bien entendu, à boire bien frais dans des grands verres avec plein de glaçons et de modération.

Petit coup de gueule pour conclure : faites votre rosé pamplemousse vous-même, plutôt que l’acheter tout fait, plein de flotte et de colorants. Un rosé bien rose (type cinsault ou grenache), un bon sirop, voire une crème de pamplemousse et en avant Guingamp !

L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération, hips !